Organes: Tête et cou
AbbVie MAJ Il y a 4 ans

Étude M16-074 : étude de phase 1 évaluant la sécurité et la tolérance de ABBV-368 en monothérapie et en association chez des patients ayant des tumeurs solides métastatiques ou de stade avancé. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquentes puisqu’elles représentent 90 % des cancers humains. On distingue 2 types de tumeurs : les carcinomes qui sont issus de cellules épithéliales (peau, muqueuses, glandes) (exemple : cancer du sein) et les sarcomes, moins fréquents, qui sont issus de cellules de tissu conjonctif (exemple : cancer des os). ABBV-368 est un anticorps qui stimule le système immunitaire du patient en se liant à un récepteur, induisant la prolifération de cellules immunitaires (appelées lymphocytes T) dirigés contre les cellules tumorales. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité et la tolérance de ABBV-368 en monothérapie et en association chez des patients ayant des tumeurs solides métastatiques ou de stade avancé. L’étude se déroulera en 2 étapes : Dans la 1ère étape (étape à doses variables), les patients recevront de l’ABBV-368 toutes les 2 semaines. La dose de l’ABBV-368 sera régulièrement augmentée par groupe de patients afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la deuxième étape. Le traitement sera répété tous les 28 jours pendant 2 ans maximum ou jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Dans la 2ème étape (étape d’expansion de groupes), les patients seront répartis en 2 groupes selon leur type de cancer : Les patients du groupe 2A ayant un cancer du sein triple négatif recevront de l’ABBV-368 seul toutes les 4 semaines à la dose la mieux adaptée déterminée lors de la première étape. Le traitement sera répété pendant 2 ans maximum ou jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients du groupe 2B ayant un carcinome de la tête et du cou recevront de l’ABBV-368 toutes les 4 semaines à la dose la mieux adaptée déterminée lors de la première étape associé à de l’ABBV-181. Le traitement sera répété pendant 2 ans ou jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 1 an et demi maximum après la fin du traitement à l’étude.

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Pfizer MAJ Il y a 6 ans

Étude de phase 1, en escalade de dose, évaluant le Pf-04518600, en monothérapie ou en association avec Pf-05082566, chez des patients un cancer localement avancé ou métastatique. Il existe plusieurs stades de cancer : initialement localisé à un organe puis qui évolue vers un ou plusieurs autres organes, on parle alors de stade métastatique. Les traitements standards des cancers reposent le plus souvent sur l’utilisation de chimiothérapie (médicaments anticancéreux). De nouvelles stratégies de traitement sont apparues comme l’immunothérapie, qui consiste à administrer des anticorps qui vont stimuler des récepteurs de cellules et réactiver le système immunitaire pour qu’il puisse combattre le cancer. L’objectif de cette étude est d’évaluer la tolérance et l’efficacité d’une combinaison de 2 immunothérapies : le PF-05082566 et le PF-05082566 chez des patients ayant un cancer avancé ou métastatiques (plusieurs indications selon les groupes). L’étude sera réalisée en plusieurs parties. Les parties 1 ont pour but de déterminer la dose maximale tolérée des traitements à l’étude et les parties 2 seront constituées de groupes d’extension où les patients recevront les médicaments aux doses recommandées. Partie A1 et A2 : Les patients recevront du PF-04518600 en perfusion intraveineuse (IV) toutes les 2 semaines. Partie B1 : Les patients recevront du PF-04518600 en perfusion IV toutes les 2 semaines et du PF-05082566 en perfusion IV sur 4 semaines. Un schéma d’escalade de dose est appliqué pour le PF-05082566. Partie B2 : Les patients recevront du PF-04518600 en perfusion IV toutes les 2 semaines et du PF-05082566 en perfusion IV sur 4 semaines aux doses déterminées lors des parties A1 et B1. Les patients seront suivis selon les procédures habituelles du centre.

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Eli Lilly and Company MAJ Il y a 6 ans

Étude I4D-MC-JTJI : étude de phase 1b non-randomisée visant à déterminer la sécurité et la dose recommandée du prexasertib en association avec le cisplatine et la radiothérapie ou avec le cetuximab et la radiothérapie chez des patients ayant un cancer de la tête ou du cou localement avancé. Les cancers de l’oropharynx, du pharynx et du larynx constituent 90% des cancers de la tête et du cou et sont favorisés par le tabagisme et l’abus d’alcool. Leur traitement est complexe et dépend des caractéristiques de la tumeur qui guident le choix entre la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie et les thérapies ciblées. Des nouvelles stratégies de traitement combinant des nouvelles molécules avec la chimiothérapie ou la radiothérapie ont montré des résultats très prometteurs. L’objectif de cette étude est de déterminer la sécurité et la dose recommandée du prexasertib en association avec le cisplatine et la radiothérapie ou le cetuximab et la radiothérapie chez des patients ayant un cancer de la tête ou du cou localement avancé t. L’étude se déroulera en 2 parties : Dans la première partie de l’étude, les patients recevront du prexasertib par voie intraveineuse (IV) tous les 14 jours associé à du cisplatine en IV 1 fois par semaine et à une radiothérapie à intensité modulée 5 jours par semaine pendant environ 49 jours. Les patients resteront sous traitement jusqu’à la fin de la période de traitement. Dans la deuxième partie de l’étude, les patients recevront du prexasertib IV tous les 14 jours associé du cetuximab en IV 1 fois par semaine et à une radiothérapie à intensité modulée 5 jours par semaine (commençant la deuxième semaine) pendant environ 56 jours. Les patients resteront sous traitement jusqu’à la fin de la période de traitement. Les patients seront suivis pendant un an.

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Pfizer MAJ Il y a 4 ans

Étude B9991004 : étude de phase 1b/2 évaluant l’activité clinique, la tolérance, la pharmacocinétique et la pharmacodynamique de l’avelumab (msb0010718c) en association avec d’autres immunothérapies chez des patients ayant une tumeur solide avancée. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Les tumeurs solides sont très fréquentes et représentent 90% des cancers humains. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur dans la lutte contre le cancr, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre le cancer. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi, la pharmacocinétique, la pharmacodynamique et l’efficacité de l’avélumab en association à autres immunothérapies chez des patients ayant des tumeurs solides localement avancées ou métastatiques. Les patients seront répartis en plusieurs groupes de traitement selon leur type de cancer pour reçoivent différentes association de traitement. Pour la première association de traitement (association A), les patients seront répartis dans différents groupes et recevront de l’avélumab associé à l’utomilumab, jusqu’à progression. 1 - Association A1 : patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules. Ces patients recevront de l’avélumab et de l’utomilumab administré à faible dose. 2 - Association A2 : patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules. Ces patients recevront de l’avélumab et l’utomilumab à dose moyenne. 3 - Association A3 : patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules. Ces patients recevront de l’avélumab et l’utomilumab à forte dose. 4 - Association A4 : patients ayant un mélanome. Ces patients recevront de l’avélumab et l’utomilumab administré à 3 différentes doses. 5 - Association A5 : patients ayant un carcinome squameux de la tête et du cou. Ces patients recevront de l’avélumab et l’utomilumab administré à 3 différentes doses. 6 - Association A6 : patients ayant un cancer du sein triple négatif. Ces patients recevront de l’avélumab et l’utomilumab administré à 3 différentes doses. 7 - Association A7 : patients ayant un cancer du poumon à petites cellules qui a progressé après au moins une ligne de chimiothérapie à base de platine. Ces patients recevront de l’avélumab et l’utomilumab administré à 3 différentes doses. 8 - Association A8 : patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules de stade IV en première lignede traitement. Ces patients recevront de l’avélumab et l’utomilumab administré à 3 différentes doses. 9 - Association A9 : patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules de stade IV en première lignede traitement. Ces patients recevront de l’avélumab et l’utomilumab administré à 3 différentes doses. Le traitement commencera par l’utomilumab seul puis l’avélumab sera progressivement ajouté. 10 - Association A10 : patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules de stade IV en première lignede traitement. Ces patients recevront de l’avélumab et l’utomilumab administré à 3 différentes doses. Le traitement commencera par l’avélumab seul puis l’utomilumab sera progressivement ajouté. D’autres associations thérapeutiques seront également testés dans d’autres cohortes. Association B : les patients ayant les types de tumeurs sélectionnées recevront du PF-04518600 en escalade de dose associé à de l’avélumab. La dose de PF-04518600 sera progressivement augmentée par groupe de patients afin de déterminer la dose la mieux adaptée. Association C, phase 1b : phase d’escalade de dose. Les patients ayant les types de tumeurs sélectionnées recevront du PD-0360324 en escalade de dose associé à de l’avélumab. La dose de PD-0360324 sera progressivement augmentée par groupe de patients afin de déterminer la dose la mieux adaptée. Association C, phase 2 : phase d’expansion de dose. Les patients ayant les types de tumeurs sélectionnées recevront du PD-0360324 associé à de l’avélumab. Association D, phase 1b : phase d’escalade de dose. Les patients ayant les types de tumeurs sélectionnées recevront de l’utomilumab, de l’avélumab et du PF-045186000 en escalade de dose. La dose de PF-045186000 sera progressivement augmentée par groupe de patients afin de déterminer la dose la mieux adaptée. Association D, phase 2 : phase d’expansion de dose. Les patients ayant les types de tumeurs sélectionnées recevront de l’utomilumab, de l’avélumab et du PF-04518600. Les patients seront suivis pendant 2 ans.

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Étude ATHENA : étude de phase 2 évaluant l’efficacité de l’atézolizumab associé à du bévacizumab, chez des patients ayant un carcinome épidermoïde de la tête et du cou récurrent ou métastatique. Les carcinomes épidermoïdes de la tête et du cou sont le 5ème cancer le plus fréquent dans le monde, avec une incidence annuelle de plus de 100 000 cas en Europe. En plus du tabagisme et de la consommation excessive d'alcool, le rôle du papillomavirus humain (« Human papillomavirus », [HPV])est désormais documenté en particulier dans la pathogenèse des tumeurs oropharyngées. On distingue ainsi 2 types de carcinomes épidermoïdes de la tête et du cou : HPV positif et HPV négatif avec des anomalies moléculaires et des dérégulations cellulaires différentes. Globalement, les tumeurs HPV positif répondent mieux aux traitements et sont donc de meilleur pronostic. Lorsque les patients sont diagnostiqués précocement, les carcinomes épidermoïdes de la tête et du cou sont traités par chirurgie associée à un traitement par chimiothérapie et/ou radiothérapie. En cas de rechute locale ou évolution métastatique après chirurgie, les patients sont souvent traités par chimiothérapie en monothérapie ou en combinaison. Le bévacizumab, un anticorps dirigé contre le facteur de croissance de l’endothélium vasculaire il permet de ralentir la croissance de nouveaux vaisseaux sanguins et ainsi la croissance des cellules cancéreuses. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur L’atézolizumab anticorps monoclonal qui se lie à une protéine des cellules cancéreuses et les empêche ainsi d’échapper au système immunitaire. L’objectif de cette étude d’évaluer l’efficacité de l’atézolizumab associé à du bévacizumab chez des patients ayant un carcinome épidermoïde de la tête et du cou récurrent ou métastatique. Les patients seront répartis en 2 groupes en fonction de leur statut HPV : positif ou négatif. Tous les patients recevront de l’atézolizumab associé à du bévacizumab toutes les 3 semaines. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie et d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 60 mois.

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Étude ABORL : étude de phase 2 visant à évaluer l’efficacité de l’abemaciclib en monothérapie chez des patients ayant un cancer de la tête et du cou localement avancé ou métastatique après échec d’une thérapie à base de platine et de cetuximab ou d’anti-EGFR et ayant une délétion homozygote du gène CDKN2A et/ou une amplification du gène CCND1 et/ou du gène CDK6. Les cancers de la tête et du cou représentent 4 à 5 % des tumeurs solides. Lorsqu’ils sont diagnostiqués précocement, ils sont traités par chirurgie associée à une chimiothérapie et/ou une radiothérapie. Cependant, le risque de rechute locorégionale ou à distance demeure significatif. En cas de rechute locale ou métastatique, les patients sont souvent traités par une ou plusieurs chimiothérapies en association, mais il est nécessaire de trouver des stratégies de traitement plus efficaces et spécifiques. L’abemaciclib est un inhibiteur sélectif de CDK4 et CDK6 qui a montré une activité antinéoplasique potentielle, car il est capable d’arrêter la division cellulaire et d’inhiber la production d’ADN et la croissance des cellules tumorales. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité de l’abemaciclib en monothérapie chez des patients ayant un cancer de la tête et du cou localement avancé ou métastatique après échec d’une thérapie à base de platine et de cetuximab ou d’anti-EGFR et ayant une délétion homozygote du gène CDKN2A et/ou une amplification du gène CCND1 et/ou du gène CDK6. Tous les patients recevront de l’abemaciclib par voie orale 2 fois par jour pendant chaque cure de 28 jours jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients auront une visite de suivi à 30 jours après la fin du traitement de l’étude ou au moment de l’initiation d’un nouveau traitement anticancéreux. Les patients seront suivis pendant 12 mois maximum.

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Hoffmann-La Roche MAJ Il y a 4 ans

Étude WO40242 : étude de phase 3 randomisée évaluant l’efficacité et la sécurité de l’atézolizumab administré en adjuvant d’un traitement local à visée curative chez des patients ayant un carcinome épidermoïde de la tête et du cou localement avancé. Les cancers de la tête et du cou sont le plus souvent de type épidermoïde, c’est-à-dire qu’ils se développent au départ des cellules du tissu cutané que l’on retrouve notamment dans l’épiderme de la peau et dans les muqueuses de la tête et du cou. La plupart des cancers de la tête et du cou (environ 90 %) sont des carcinomes épidermoïdes. Lorsqu’ils sont détectés précocement et immédiatement traités, les cancers des muqueuses de la tête et du cou peuvent être guéris. Les traitements les plus utilisés, seuls ou en combinaison, sont la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie et les thérapies ciblées. L’atézolizumab agit sur le système immunitaire et peut ainsi attaquer le cancer. Ce traitement empêche qu’une protéine située à la surface des cellules tumorales se lie à une autre protéine, produite sur les cellules immunitaires activées. Bloquer cette interaction aide le système immunitaire à attaquer les tumeurs afin de ralentir ou arrêter la croissance tumorale. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la sécurité de l’atézolizumab chez des patients ayant un carcinome épidermoïde de la tête et du cou localement avancé. Les patients recevront un traitement local à visée curative puis seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes : Les patients du premier groupe recevront de l’atézolizumab. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines jusqu’à 16 doses ou pendant 1 an maximum ou jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients du deuxième groupe recevront un placebo. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines jusqu’à 16 doses ou pendant 1 an maximum ou jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients seront revus toutes les 9 semaines pendant les 2 premières années, puis toutes les 12 semaines pendant la troisième année et toutes les 16 semaines pendant les quatrième et cinquième années pour une évaluation tumorale.

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Seattle Genetics Inc. MAJ Il y a 4 ans

Étude innovaTV 207 : étude de phase 2, multicentrique, randomisée, ouverte évaluant l’efficacité, la sécurité et la tolérance du tisotumab védotine dans le traitement des tumeurs solides localement avancées ou métastatiques. Les tumeurs solides sont l’ensemble des cancers qui se développent à partir d’une tumeur localisée : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquentes puisqu’elles représentent 90% des cancers humains. On distingue 2 types de tumeurs : les carcinomes qui sont issus de cellules épithéliales (peau, muqueuses, glandes), et les sarcomes, moins fréquents, sont issus de cellules des tissus conjonctifs (exemple : cancer de l’os). Une tumeur est dite métastatique ou disséminée, lorsque les cellules cancéreuses ont migré à travers le corps, par la voie des vaisseaux sanguins ou lymphatiques et ont colonisé un ou plusieurs autre(s) tissu(s), loin de la tumeur d’origine. Différents organes peuvent être colonisés par ces métastases : os, foie, cerveau, poumon, etc. Mais la nature d’une tumeur reste toujours déterminée par son point de départ. Le traitement de la référence des tumeurs solides métastasiques est la chimiothérapie et la radiothérapie. On détecte la présence de cellules immunitaires dans beaucoup de tumeurs, ces dernières ont la capacité d’éliminer les cellules cancéreuses. Cette capacité potentielle à restaurer l’immunité anti-cancer dans la durée est la base de l’immunothérapie qui est le traitement des tumeurs solides avancées ou métastatiques. Le tisotumab védotine est un conjugué anticorps-médicament qui libère un agent toxique, qui agit en infiltrant les cellules cancéreuses et les tue de l'intérieur e induisant la mort programmée de ces cellules. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité, la sécurité et la tolérance du tisotumab védotine dans le traitement des tumeurs solides localement avancées ou métastatiques. Les patients recevront du tisotumab védotine toutes les 3 semaines. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 24 mois.

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